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Le mot du maire
Pourquoi un blog ?
De plus en plus de ménages utilisent l'informatique. Certes, tout le monde n'a pas un ordinateur à disposition. Toutefois, c'est le moyen le plus rapide pour correspondre, pour communiquer, pour adresser des photos, pour faire savoir. Aujourd'hui, de nombreuses collectivités mettent Internet à disposition de leurs administrés qui n'ont pas d'ordinateur ou qui n'ont pas l'ADSL. Je souhaite et j'espère que ce blog vous intéressera. Des dernières nouvelles à l'histoire de la commune et de la communauté de communes, il est conçu pour vous et n'a aucun but électoral.
Bonne lecture.

Délibérations 1991 (suite 6) :

Le 14 octobre 1991 (suite 1) :

Projet de création d'une Communauté de Communes :
 
Le Maire fait part de la réunion qui a eu lieu en Mairie de Champniers, sur initiative du SIVM, entre les communes d'Anais, Balzac, Brie, Champniers, Jauldes et Vindelle et qui avait pour but de connaître l'avis de chacun sur une éventuelle intercommunalité de type <<Communauté de Communes>>.
Les représentants de ces communes se sont quittés en s'étant fixé comme objectif de demander à leurs Conseils respectifs s'ils étaient d'accord pour lancer l'étude de faisabilité d'une CdC et les compétences qui lui seraient attribuées.
Le Conseil accepte à l'unanimité que cette étude soit lancée avec la possibilité d'élargir à d'autres communes.
Modification du POS :
 
Afin de satisfaire l'intérêt général, il paraît nécessaire de modifier le P.O.S.
Il est proposé que les parcelles section H3 (dans le Bourg) N° 571, 572, 573, 585, 586, 587, 588 et 589, actuellement en zone NA (lotissement), passent en zone UXC (activités commerciales) car cela permettrait de répondre aux demandes commerciales.
Ces nouveaux services seraient d'un intérêt général.
Le Conseil accepte à l'unanimité.

Le 14 novembre 1991 :

Refus d'indemnité de conseil au Receveur Municipal :
 
Le Conseil, à l'unanimité, refuse d'attribuer l'indemnité de conseil au Receveur Municipal pour deux raisons essentielles :
     - Le Conseil ne lui fait jamais appel;
     - Le courrier de Monsieur le Receveur n'est pas toujours correct pour des faits le plus souvent insignifiants.
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